Nicole, une de mes partenaires épisodiques, se prête volontiers à mes petits jeux de « fessées surprise ».
Je lui ai fait découvrir un logiciel que j’ai adapté, qui est une « roue de la chance » ou plutôt une roue de la malchance car elle détermine les modalités de la fessée que la « punie », avec son consentement, recevra.
Il s’agit bien évidemment de « punitions » désirées destinées à donner du plaisir, fut-il dans la douleur.
La première fois que je lui proposai ce jeu, Nicole après quelques hésitations s’était engagée à accepter le verdict de la roue et à recevoir la « punition » que le hasard allait lui allouer.
J’avais auparavant paramétré le programme avec les options suivantes:
Une 1 ère roue décide de l’instrument qui serait utilisé:
- la fessée à la main, la brosse à cheveux, la cane anglaise, la raquette de ping-pong ou la badine de noisetier (redoutable badine !)
Une seconde roue détermine le mode d’application de la punition:
- sur la jupe, sur le collant, sur la slip, culotte baissée (et les combinaisons possibles avec ces 4 composantes).
La 3 ème roue détermine le nombre de coups:
- de 12 à 50 coups – avec une case bonus de 60 et une case « au choix de la punie »
La 4 ème roue fixe le niveau de la punition avec 4 options:
- légère (pas de marque)
- sévère (avec marques pour quelques minutes)
- très sévère (avec marques durables un jour ou plus)
- au choix de la punie (ça c’est cadeau ! La punie a une chance sur 4 de choisir le niveau, c’est pour elle, encourageant).
Je lui précisai qu’elle serait attachée et qu’elle subirait la punition jusqu’au bout même si elle me suppliait d’arrêter. La dame étant joueuse finit par accepter et lança la 1 ère roue.
J’espérais qu’elle tombe sur « la badine », instrument très cinglant ! Elle, souhaitait « fessée à la main »: sa préférée.
La roue s’arrêta sur « cane anglaise »
La cane l’inquiéta beaucoup car elle avait gardé quelques mauvais souvenirs de l’instrument. Pour la rassurer un peu, je concédai d’utiliser une cane en PVC qui est plus légère que celle en bambou.
Elle lança la seconde roue qui s’arrêta sur « jupe / collant / slip ».
J’étais un peu déçu car j’aurais préféré appliquer la cane directement sur ses fesses nues pour pouvoir en apprécier les effets. Elle, aurait préféré la recevoir uniquement sur la jupe.
Je lui expliquai qu’elle recevrait un tiers du nombre de coups sur la jupe, le second tiers retroussée, sur le collant, et le 3 ème tiers sur le slip. Je lui dis qu’elle avait beaucoup de chance car elle ne recevrait pas la punition sur ses fesses nues ! Elle ne sembla pas convaincue de ce « bon tirage ».
C’est avec beaucoup d’appréhension qu’elle lança la 3 ème roue qui s’arrêta sur 38 !
Elle se lamenta beaucoup, dit qu’elle ne pourrait pas en supporter autant mais je lui rappelai son engagement et elle finit par lancer la dernière roue qui allait fixer le niveau de sévérité.
Las, celle-ci s’arrêta sur « Punition très sévère avec marques ».
Je lui expliquai que je ferais en sorte que chaque coup soit suffisamment appuyé pour laisser une marque.
Elle tenta de négocier une punition plus légère , ce qui n’était pas négociable. Après de longues palabres, elle se laissa tout de même attacher au dos d’un fauteuil, les fesses offertes à 38 coups de cane, très sévères: 12 sur la jupe – 12 sur la collant et 14 sur le slip (pour conserver des nombres pairs).
Elle me supplia de ne pas « taper trop fort », qu’elle ne pourrait pas supporter… Bon prince, je lui donnai le choix entre partir et ne plus revenir partager ces jeu de fessées… (bluff !) ou respecter sa parole et subir sa punition jusqu’à la fin.
Nicole se lamenta encore un peu… et accepta de continuer.
J’appliquai les 12 premiers coups par dessus la jupe, bien appuyés, en les espaçant. Elle les supporta plutôt bien. Le tissu épais amortissait bien les coups même si chaque impact creusait la jupe, la faisait voler ! Chaque coup était accompagné d’un « aïe » ou d’un petit soupir qui témoignait d’une douleur très upportable !
(photos capture video recadrées par mesure de discrétion)
Quand je lui retroussai la jupe, Nicole reprit ses jérémiades de plus belle , supplia de ne pas frapper fort.
Les 12 suivants appliqués jupe relevée furent beaucoup plus douloureux. Le collant et la petite culotte n’offraient qu’une maigre protection à la cane en PVC, très flexible et cingante ! Elle les accompagna de grognements sourds en agitant ses fesses qui se crispaient et s’ouvraient dans une danse délicieusement sensuelle. Je pris soin de bien espacer les six premiers coups, lui caressant entre chaque les fesses de la cane ou faisant siffler celle-ci dans l’air, ce qui lui faisait aussitôt crisper son derrière.
J’appuyai davantage les 6 derniers et à chaque impact la chair se creusait sous la cane. Les fesses rougissaient, se crispaient puis se détendaient, se tordaient à droite, à gauche et se crispaient à nouveau en l’attente du coup suivant que je m’amusais à faire attendre.
Elle les subit avec beaucoup moins de stoïcisme ! Les plaintes et ses contorsions témoignaient d’une douleur non feinte !
Je lui accordai un temps de repos qu’elle mit à profit pour râler, dire que c’était trop fort, qu’elle n’accepterait plus jamais ce genre de jeu idiot…
Je baissai lentement son collant et lui annonçant les 14 coups suivants que je lui présentai comme très, très, très sévères, histoire de la terroriser encore davantage, m’amusant de sa peur … Pas bien ! Je me contentai d’abord de lui caresser gentiment les fesses que la petite culotte échancrée masquait peu.
Contrairement à la cane en bambou, celle en PVC beaucoup plus légère, marque beaucoup moins mais rougit la peau. Après ces 24 premiers coups, les marques se confondaient. La peau nue qui débordaient du petit slip était joliment rougie.
Après quelques secondes d’un suspens pour elle insoutenable, j’abattis la cane sous le bas des fesses une première fois. J’avais sans doute un peu trop appuyé ce premier coup car elle poussa un « aïe » sonore suivi d’une série de « Nonnn », hurla que c’était trop fort.
Connaissant la punie et sachant qu’elle avait tendance à en rajouter, j’attendis quelques secondes et sans plus sans attendre, j’appliquai les six autres coups quasiment à la file, comme annoncé: sévère !
La cane en PVC très flexible cinglait vertement ses fesses, qu’elle enrobait, creusant la chair à chaque impact, ce qui lui arracha des gémissements à fendre l’âme et des protestations mal-venues, tentant de soustraire ses fesses à l’instrument en tirant sur ses liens pour tenter de s’en libérer.
Devant ce mauvais comportement, je la grondai sévèrement et lui annonçai que puisqu’elle n’était pas sage, ce serait encore plus sévère. Pour respecter le tirage au sort de la roue qui excluait « culotte baissée », je tirai son slip vers le haut ce qui découvrit largement les fesses et appliquai les 7 derniers à la file en changeant de coté avec une belle sévérité. Elle accompagna cette dernière série d’une longue plainte, les fesses crispées.
La punition étant arrivée à son terme, Nicole resta quelques secondes gémissante, faisant rouler ses fesses à présent bien marquées puis soudain hurla qu’on ne l’y reprendrait jamais (ce qui s’avéra faux car c’est devenu un de nos jeux favoris), que ça faisait très mal, que j’étais un monstre…etc.
Une fois libérée de ses liens, elle s’allongea sur le divan. Son visage était très rouge mais alors qu’elle n’avait pas laissé échapper la moindre larme durant la punition , elle se mit à pleurer doucement en se frottant les fesses.
J’avais prévu de l’envoyer au coin, jupe relevée, culotte baissée, en punition… mais ses pleurs eurent le dernier mot et je l’abandonnai à sa peine.
Quand après de longues minutes elle se releva, frottant toujours ses fesses, les yeux rougis et se réfugia dans mes bras en me traitant de « chameau ».
Quelques instants plus tard nous avons fait l’amour dans un état d’excitation assez extraordinaire. Elle eut comme après chaque fessée, plusieurs orgasmes spectaculaires et plus tard concéda qu’elle avait été très excitée par cette douloureuse découverte.
Ses fesses gardèrent les marques plusieurs jours ( à ses dires, sans doute exagérés) et cette première expérience, loin d’être dissuasive, fut suivie de beaucoup d’autres souvent beaucoup moins sévères que celle-ci.
J’utilise de temps à autre cette roue de l’infortune que je peux paramétrer à loisir et adapter aux désirs de ces dames.
Envie d’essayer ?
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